Tribu Miwok

Population : 300 membres

Peuple guerrier et violent

Les amérindiens de la tribu Miwok sont plus guerriers que leur voisin. Ils peuvent paraître agressifs aux premiers abords, à juste titre car ils sont particulièrement violents. Néanmoins, cette réaction virulente n'est rien d'autre qu'une réponse à l'oppression des colonisateurs qui leur mène la vie dure dès que la possibilité se présente.

Pour eux, la guerre est importante ; elle leur est inculquée dès leur plus jeune âge, attisant les aspirations à devenir de grands guerriers. Tous les enfants rêvent de combattre avec bravoure, comme les héros légendaires des histoires contées autour du feu.

Tous les membres de la tribu sont appelés à prendre les armes dès que le Chef l'ordonne, femmes comprises, mais ils ne sont pas considérés comme guerrier en tant que tel. Pour qu'un miwok soit un guerrier à part entier, il doit lui-même prouver qu'il mérite ce titre en accomplissant des faits particulièrement bien vus. C'est un peuple qui répond au sang par le sang, défendant son territoire et son honneur jusqu'à la mort, mais il est plus honorable de porter un coup et toucher l’ennemi, plutôt que de le tuer. Ceux qui rapportent des scalps se noircissent le visage avec des cendres et du charbon de bois, avant que le butin ne soit partagé entre les familles des combattants et les membres importants de la tribu.

Exemple de faits à accomplir :
► Sans se faire voir, repérer ou attraper, le miwok doit voler les chevaux les plus robustes d'un campement de visages pâles. S'il arrive à prendre également les armes, c'est un plus non négligeable aux yeux de sa communauté, puisque les miwok utilisent parfois les armes des blancs contre eux-mêmes ; un message facile à faire passer.
► Ne jamais fuir sur le champs de batailles, quelque soit la situation ; camps adverse plus nombreux, par exemple.
► Faire tomber un ennemi de son cheval, qu'il soit natif ou blanc, à main nue.

Les Miwoks arborent des plumes avec une signification bien particulière ;
► La plume peinte avec des points rouges indique les ennemis tués. 1 point = 1 ennemi.
► La plume totalement peinte en rouge indique un ennemi gravement blessé durant un combat.
► La plume fendue en deux indique que l'ennemi a été blessé plusieurs fois durant le combat.
► La plume écorchée indique que l'ennemi a été scalpé avant d'avoir la gorge tranchée.

C'est de ces exploits qu'est décorée la coiffe du Chef Miwok, rappelant à tous le guerrier qu'il fut jadis ou qu'il est toujours. Chez les miwoks, cette coiffe s’étend jusqu'aux talons tant les nombreuses plumes racontent les étapes d'une vie passée avec un tomahawk à la main.

Habitat

► En milieu sec et aride.
► Peuple nomade dispersé sur leur territoire, changeant souvent de place pour surprendre plutôt que d'être surpris.

Relations

Les couples peuvent être monogames ou polygames, il n'y a aucun jugement. Cela est au contraire encouragé ; les miwoks étant guerriers et prenant plus de risques par bravoure, leur population est moins nombreuse que celle, par exemple, des tolowas. La sexualité est libre et s'engager ne signifie pas forcément pour la vie ; si un mariage ne convient plus, alors il ne compte plus.

Passage à l'âge adulte

En plus du totem qui n'a pas la même importance que pour leur voisin natif, chez les miwok, c'est par la souffrance qu'on traverse cette étape. Un poteau en bois est dressé à un endroit où le soleil tape toute la journée. Le miwok y est attaché, suspendu et à la merci de la chaleur écrasante. Il faut tenir sur ses jambes dès la rosée du matin, jusqu'à ce que le soleil se couche.

Nourriture

Chasse principalement le bison, où aucun gaspillage n'est fait : les peaux sont confectionnées en vêtements et tipis, les tendons utilisés pour leur habitat, les cornes à des fins esthétiques, cérémoniales et religieuses.

Artisanat

Peu développé. Fabrique néanmoins des armes (arc, tomahawk) solides et fiables.

Spiritualité : Chamanisme

La tribu Miwok croit en l'existence d'un Grand Esprit supérieur. Celui-ci est bénéfique mais s'il n'est pas traité comme il le faut, il peut devenir dangereux et causer des maladies.

►1 chaman par tribu
►Utilisation du peyotl : cactus contenant plusieurs alcaloïdes dont la mescaline, utilisée pour ses propriétés enthéogènes, psychotropes et hallucinogènes.

Une relation qui se dégrade avec le temps
Ca fait plusieurs siècles que les colons ont débarqué. Au fil du temps, ils ont pris plus de place, sans respect pour les tribus qui au départ, étaient bien plus nombreux, mais jamais plus que le Visage Pâle qui avait des armes bien plus meurtrières pour se positionner en dominant. L’homme blanc veut s’épanouir sur cette merveilleuse terre et pour ça, il faut repousser les natifs ; ce qu’ils font sans réellement hésiter, la soif d’avoir plus est un sentiment contre lequel il est difficile de lutter. Eclate alors des tueries, des vengeances, des guerres de territoires, des traités de paix rompus par les blancs qui poignardent dans le dos. Les Miwoks étaient à leur apogée une grande tribu, qui ont vu chuter leur membre à cause des maladies, mais surtout des tueries perpétrées par les colonisateurs car ils se sont défendus mais ont perdu.

Mais qu'en est-il aujourd'hui ? La relation est au point mort. Ni les Miwoks ni les colons ne font le premier pas, trop de sang à couler. La tribu veut récupérer les terres qui leur ont été volée, en dans un but ultime, les voir tous partir. Cela demanderait une alliance des centaines de tribus attroupées en Californie et en dehors, une mission peut-être trop utopiste et irréaliste en l'état actuel des choses. La colère, pour certains la haine, est si grande et ancrée qu'une rencontre avec un Visage Pâle mène à coup sûr à une confrontation ou alors à la fuite, pour éviter de déclencher les hostilités et donner raison aux colons qui les traitent de sauvages sanguinaires. Le chef Powaqa a pour l'instant interdit de verser le sang en premier, mais invite fortement à défendre son territoire si intrusion il y a, et ce jusqu'à la mort s'il le faut.

Pourquoi les Miwoks n'ont-ils pas attaqué Crimson depuis tout ce temps ?
Les précédentes attaquent des colons ont fragilisé grandement la tribu. Le chef actuel Powaqa ne lance aucune attaque car il se souvient des défaites passées qui leur ont coûté gros.
Leur espoir réside
▬ Dans une alliance nouvelle avec les Tolowas, peut-être peuvent-ils tenter de leur faire entendre raison ?
▬ Des manœuvres plus stratégiques pour toucher à une source non négligeable, comme le chemin de fer qui menace leur territoire.
▬ Le recrutement en continu de tribus alliées ou rivales

Les relations vis-à-vis de la tribu Tolowa
Les deux tribus ont longtemps vécu l’une à côté de l’autre. Les Miwok se sont épanouis sur les terres sèches et arides, tandis que les Tolowa ont préféré les forêts et bordure de montagnes. Les deux tribus ne parlent pas exactement la même langue mais les siècles défilant, leur langage s’est peaufiné, évoluant en un dialecte compris par les deux grandes tribus. Elles se côtoient fréquemment, ne serait-ce que pour le troc : les miwoks sont d’excellents chasseurs tandis que les tolowas sont d’incroyables artisans, bricoleurs, artistes. Ainsi ils échangent de la viande/peau de bisons contre des ustensiles ou des armes de qualité, par exemple.

Les deux clans ont vécu ensemble les attaques répétées et la trahison des blancs malgré les traités, à la différence que les tolowa ont eu “l’intelligence” de se rendre à l’évidence : plus les décennies passent, plus leur terre est envahi, et cela n’ira qu’en croissant. Alors ils décident de baisser les armes et tenter de comprendre leur nouveau voisin au visage pâle. A côté, les miwoks pleurent leurs morts et promettent une vengeance à chaque goutte de sang versée, trop aveuglés par la colère pour voir qu’ils ne font pas le poids pour une victoire totale. Un premier lien se brise entre tolowa et miwok à cette époque, qui sera définitivement inexistante lorsque l’épidémie s’acharne sur les colons. Ce moment est vu par les miwok comme une bénédiction, comme une intervention des esprits morts par la main de l’homme blanc. Ils décident de ne pas réagir et de les laisser périr, de laisser la nature faire ce qui est juste ; hélas, c’était sans compter sur le Chef tolowa actuel Omawnakw qui envoie de l’aide au village le plus proche, Crimson Town.

Tribu Tolowa

Population : 325 membres

Habitat

► En forêt.

Nourriture

►Tout animal tué sera remercié pour son don. Il est interdit de tuer pour le plaisir, excepté pour se nourrir ou pour se défendre (encore ici, il faut tout faire pour l'éviter. Cette finalité tragique sera toujours la faute du tolowa.)
►Chasse principalement le bison, où aucun gaspillage n'est fait : depuis les peaux sont confectionnés vêtements et tipis, les tendons utilisés pour leur habitat.
►Cueillette, graines, maïs, feuilles.

Artisanat

Tout le monde est appelé, dès le jeune âge, à explorer ses capacités artistiques.

Spiritualité : La nature

Les Tolowas ne veulent pas dominer la terre, elle ne leur appartient pas ; ils sont là de passage, ils leur appartiennent. Ils s'y fondent du mieux qu'ils peuvent et ne se pensent pas plus importants qu'un animal, encore moins l'aigle qui est pour eux une bête sacrée proche du Ciel. Sa plume est une relique et on ne peut espérer la porter uniquement après avoir accompli un exploit, jugé par le Chef.

Guerriers

(reconnaissable par une petite coiffe spécifique, les cheveux tressés vers l'arrière du crâne)
Pacifiste ou pas, la tribu se doit d'avoir de nobles combattants en son sein. Le monde violent dans lequel ils vivent l'exige, ne serait-ce que pour se défendre. Etant donné que tuer un animal est très mal vu, il en va de même pour les êtres humains. Lorsque cela arrive, c'est dans la douleur que le natif exhibera non l'exploit d'avoir ôté la vie, mais sa honte de n'avoir eu d'autre choix : par le tatouage ou la scarification d'une entaille.

Au sein des tribus

Des p'tits trucs bon à savoir

Nom & prénom

On donne aujourd'hui et on donnait par le passé aux enfants un prénom en fonction de certains critères comme les circonstances entourant leur naissance, leurs caractéristiques physiques ou mentales ou le nom d'une personne décédée dont on admirait les qualités, le clan, etc. Un très bel exemple est le nom du personnage célèbre de l'histoire qui portait le nom de "POCAHONTAS", un prénom féminin qui signifie « petite enjouée » en langue Powhatan.  "Pocahontas" était un surnom d'enfance se rapportant à sa nature espiègle.
(Sources :   Rev. Edward D. Neill, Pocahontas and Her Companions. Albany: Joel Munsell, 1869)
Le nom de famille n'est pas obligatoire et surtout, pas nécessaire. On parlera souvent comme "Tallulah, fille d'Omawnakw de la tribu tolowa".

La femme

Dans les deux tribus, les femmes sont extrêmement respectées. Leur valeur et l'importance de leur place au sein du groupe n'est plus à prouver ; les hommes savent que sans ces fortes personnalités, ils perdent un atout majeur. L'amérindienne est tisseuse, bâtisseuse, fermière, cuisinière, potière, mère. Mais pas seulement, car les sociétés natives du continent est égalitaire. Les femmes y ont un pouvoir représentatif et parfois mystique. Ce sont elles qui le plus souvent sont appelées à devenir chamane, guérisseuse, négociatrice. Elle ne se verra jamais prendre une place aussi importante que celle d'un chef, mais celui-ci l'écoute d'une oreille particulièrement attentive.

Entente

Les deux tribus aux mœurs différentes et présentes sur ce large territoire s'étaient bien entendues durant une très longue période. Elles avaient conclu un marché à connotation neutre, soulignant que chacun devait rester à sa place et que par respect pour leurs ancêtres respectifs, ils s'entraideraient en cas de besoin. Sauf que le pacte prit fin un jour de 1857, lorsque l'épidémie ravagea les contrées arides du Far West. La maladie frappa moins les natifs que les Blancs, c'était la raison pour laquelle le Chef Tolowa tendit la main aux habitants de Crimson Town en leur proposant des soins. La ville ayant eu beaucoup de morts, ils manquaient de chasseurs et tanneurs ; les tolowas se mirent alors à leur vendre leur peau de bêtes et vivres. Cette démarche bienveillante attisa la colère du Chef Miwok, qui vit dans ce geste de la honte envers leur propre peuple. Dès lors, le contact se rompit entre les deux clans. Une tension palpable s'était immiscée, menaçant à tout instant de laisser la rancœur exploser. Cependant, la tribu Miwok n'attaqua jamais Crimson Town ; cela revenait à déclarer la guerre aux blancs et leur arme bruyante et mortelle, ainsi qu'aux tolowas supérieurs en nombre.

Salutations

Entrer dans un tipi

Quelque soit les centaines de tribus qui jonchent la Californie, le message est le même : Si l'entrée d'un tipi est ouvert, vous pouvez y entrer sans même vous annoncer. Si en revanche elle est fermée, il est impératif de se présenter et d'attendre qu'on vous y invite !

Chef

Le rôle de Chef n'est pas héréditaire, il y a bien une élection parmi les membres de la tribu. Cependant et généralement, ce vote a été fait et mis en place par les anciennes générations. Les plus récentes favorisent le passage de la coiffe à un membre du même sang que leur chef défunt. Si le chef n'a eu que des filles, c'est le plus proche aspirant mâle de la famille qui se verra attribuer la lourde responsabilité. Il peut néanmoins la refuser et là, un vote sera nécessaire. Une tribu ne peut rester sans chef, et celui-ci se doit de présenter les valeurs de leur peuple.

Chaman : Homme & femme
Médecine chez les natifs

Perte de l'Égo
L'apprentissage chamanique est une longue phase de purification et de perte de l'Ego.
Celui qui juge ou critique les autres, ou celui qui prétend tout connaître ne répond pas à ce critère.
Est disposé à suivre cette voie, celui qui rêve, qui ressent, qui contacte les anciens.

La langue des natifs du forum

Inspiration Lakota

   Afin de simplifier cet aspect du rp, et parce qu'il n'est pas question de faire n'importe quoi avec les langues amérindiennes toutes aussi riches et complexes les unes que les autres, à Crimson les deux tribus parlent le LAKOTA. Ce topic sert surtout d'une minuscule "aide" pour vos rp et pas d'un cours sur le sioux lakota, les références sont l'immensité d'Internet, du forum de discussion Arizona Dream, de la chaîne YT de sintegleskautube.

La langue lakota est une langue amérindienne faisant partie de la famille des langues siouanes. Elle est principalement parlée par le peuple Lakota, qui est l'un des groupes autochtones des Grandes Plaines d'Amérique du Nord. Les Lakotas font partie de la Nation Sioux.
C'est une langue à tonalité complexe, ce qui signifie que la hauteur et le contour tonal des syllabes peuvent changer le sens des mots. Elle utilise un système d'écriture basé sur l'alphabet latin, mais avec des caractères spéciaux pour représenter les sons particuliers de la langue. La grammaire lakota est caractérisée par l'utilisation de préfixes, de suffixes et de verbes auxiliaires pour indiquer les relations grammaticales et les temps verbaux. Les mots peuvent être longs et complexes, car plusieurs idées peuvent être exprimées en un seul mot.

Sons les plus spécifiques de la langue

"ȟ" se prononce comme le son "h" aspiré
"š" se prononce comme le son "ch" dans le mot "chat"
"ȼ" se prononce comme le son "tch" dans le mot "match"
"a" se prononce comme le "a" dans le mot "chat"
"o" se prononce comme le "o" dans le mot "robe"

Mots courants

─ Bonjour - Hau (How) / Hau kola (how koh-lah)
─ Merci - Pilamaya (Pee-lah-mah-yah)
─ S'il vous plaît - Wóphila ("Woh-pee-lah)
─ Au revoir - Tokša (Toh-kshah)
─ Oui - Háŋ (Hahn)
─ Non - Héčha "Hay-chah)

─ Chaman - Wakȟáŋ wičháša (wah-khahn wee-chah-shah)
─ Amour - Wíyutehiŋ (Wee-yoo-tay-heeng)
─ Famille - Wičháša Wíyutehiŋ (Wee-chah-shah Wee-yoo-tay-heeng)
─ Maison - Tiŋčéyaŋ (Teeng-chay-yahn) / Tipi (tee-pee)
─ Ami - WíyutehiŋčAŋ (wee-yoo-teh-heeng-chan)
─ Feu - Itȟúŋwaŋ (ee-too-ng-wahng)
─ Bison - Taŋka (tahn-kah)
─ Soleil - Aŋpétu (ahng-pay-too)
─ Lune - Haŋyétu (hahn-yay-too)
─ Étoile - Pté (p-tay)
─ Vent - Waŋ (wahng)
─ Eau - Mni (m-nee)
─ Terre - Maka (mah-kah)
─ Fête - Wíyutehiŋpi (wee-yoo-teh-heeng-pee)

─ Guerre - Wíyutehiŋ (wee-yoo-tay-heeng)
─ Combattant - Ičhéwičháša (ee-chay-wee-chah-shah)
─ Arme - Ičháŋ (ee-chahng)
─ Bouclier - Čhéwičhakičiyapi (chay-wee-chah-kee-chee-yah-pee)
─ Épée - Wíčhíyutehiŋ (wee-chee-yoo-tay-heeng)
─ Flèche - Nažiŋ (nah-zheeng)
─ Cheval de guerre - Šúŋka Wakȟáŋ (shoon-kah wahk-hahn)
─ Chef de guerre - Waŋblíčheyapi (wahn-blee-chay-yah-pee)
─ Victoire - Wóuŋspe (woh-oon-speh)
─ Bataille - Wíyutehiŋ wačhíŋ (wee-yoo-tay-heeng wah-cheeng)

─ Nourriture - Wíyute (wee-yoo-teh) / Wakȟáŋyeža (prononcé "Wahk-hahn-yezah")
─ Cuisiner - Uŋglúŋpičhičiyapi (oong-gloo-ng-pee-chee-chee-yah-pee)
─ Poêle - Tȟátȟuŋka (tah-tuhng-kah)
─ Casserole - Makháŋtaŋ (mah-khahn-tahng)
─ Cuillère - Pȟamóčhe (pah-moh-chay)
─ Couteau - Míŋčhaŋšičhiye (meeng-chahng-shee-chee-ye)
─ Four - Waŋíyute (wah-nee-yoo-teh)
─ Assiette - Ičíŋtȟuŋ (ee-cheeng-too-ng)
─ Verre - Wakíŋya (wah-kee-nyah)
─ Table - Okȟólakičiye (oh-khoh-lah-kee-chee-ye)

Quelques phrases

─ Comment ça va ? - Háu mitákuyepi (hahn mee-tah-koo-yay-pee)
─ Quel est ton nom ? - Hena unspéčiŋ kiŋ číyúškiŋyaŋ héčha? (hay-nah oon-shpay-cheeng keen chee-yoo-─shkeeng-yahng hay-chah)
─ Je m'appelle Otoahnacto. - Otoahnacto niŋúŋpičiye. (oh-toh-ahn-ah-toh neeng-oong-pee-chee-ye)
─ Où est la rivière ? - Kíŋ de wakpáŋ wíyute kiŋ héčha ? (Keeng deh wah-kpahn wee-yoo-teh keen hay-chah ?)
─ Je suis désolé(e) - Waíčhéyačhiŋ kštó (wah-ee-chay-yah-cheeng kstoh)
─ Je t'aime - Wíyutehiŋčiyuŋpičiye. (wee-yoo-teh-heeng-chee-yoon-pee-chee-ye)
─ Je t'aime aussi - Niȟokšičiyuŋpi kičhíčiyapi (Nee-hohk-shee-chee-yoon-pee kee-chee-chee-yah-pee)


(A SUIVRE...)